"Les Essentiels Naturels" devient MerciBio.fr ! Bienvenue !
Les tampons, notre ennemi intime ?

Les tampons, notre ennemi intime ?

Le vagin est une zone du corps qui absorbe facilement tout ce qui passe.
Sauf que les tampons, c’est un morceau de coton chimique, qui va stagner pendant plusieurs heures à l’intérieur.

Résultat ?
Des polluants organiques vont s’accumuler dans l’organisme (cancérigènes, perturbateurs du système hormonal, toxines,...).
En plus du risque brutal de provoquer à tout moment pendant son utilisation : le syndrome du choc toxique (SCT).


Le SCT qu’est-ce que c’est ?


Des symptômes tels que : l’épuisement, la fièvre, la chute de tension, des éruptions cutanées, parfois diarrhées et vomissements… qui conduisent à une infection générale. Mais le diagnostic n’est pas toujours bien posé. Après un choc toxique, 20 % des femmes rentrent chez elles sans savoir ce qui s’est passé. Sauf que le risque de récidive est important, surtout si elles utilisent à nouveau des tampons.

Comment ça marche ?


Le staphylocoque doré, plus exactement, le staphylococus Aureus est un germe naturellement présent dans la flore vaginale de certaines femmes (entre 20 et 30 % de la population). Le SCT est provoquée par une toxine libérée par ce germe, qui va ensuite passer dans le sang.
Comment ?
La stagnation du sang dans le vagin constitue un milieu idéal pour la prolifération de cette bactérie et donc la libération de la toxine en cause. Les séquelles sont relatif au moment de la prise en charge, les patientes peuvent aller jusqu’à risquer la mort si c’est trop tard. D’où l’importance de ne jamais porter de tampons la nuit. Le vagin est conçu pour drainer et évacuer le sang, pas pour que celui-ci stagne à l’intérieur...

La composition des tampons ?


Aucune loi particulière n’encadre les tampons. Les industriels n’ont donc pas l’obligation de dévoiler leur composition.
Ce que l’on sait, c’est que les tampons doivent être très absorbants. Ils sont faits de viscose ou de coton. La viscose étant plus absorbante que le coton : c’est une fibre synthétique, fabriquée à partir de pulpe de bois (hêtres, épicéas…)
Le problème ?
Le coton non bio est issu de l’agriculture conventionnelle, donc des pesticides sont directement introduits dans le corps via le tampon.
Et la cellulose des tampons provient des arbres. Donc les fibres sont de couleur marron. Pour les blanchir, les industriels vont utiliser du dioxyde de chlore, voire du chlore élémentaire, qui produisent dans le corps des dioxines, des perturbateurs endocriniens...
D’après le toxicologue Dominique Lison, interviewé dans le film, les dioxines seraient responsables de l’endométriose, une pathologie très douloureuse à l’origine d’infertilité.
Autre perturbateur endocrinien retrouvé dans certains voiles et matières absorbantes : le DEHP, un phtalate, cancérigène interdit en Europe dans les jouets et les cosmétiques. Ou encore du glyphosate, c’est-à-dire... du désherbant.

Vous savez ce voile en plastique souple, censé faciliter leur insertion, est en fait bourrés de phtalates, ils sont soupçonnés de favoriser les fausses couches...

Dans le reportage, on peut voir un teste sur les six marques les plus utilisées par les femmes.
Bilan ?
De vraies « poubelles chimiques » !
Il y a tellement de composants chimiques qu’il est impossible d’en faire l’inventaire. Le chimiste Bernard Tailliez en a trouvé entre vingt et trente.
C’est aussi ce que montre l’étude menée par 60 millions de consommateurs : tous les tampons (même bio…) contiendraient des molécules toxiques.

Autres problèmes ?


La viscose ne fait pas de distinction entre le flux menstruel et les secrétions. Elle absorbe donc tout, provoquant parfois des sécheresses vaginales ou un déséquilibre de la flore. D’où l’inconfort et les irritations souvent ressenties en utilisant des tampons, des mycoses et des infectios à répétitions...
Enfin, le tampon laisse toujours quelques petites fibres dans le vagin... favorisant là encore des irritations, des infections, ...

Des conseils ?


Le vagin est conçu pour drainer et évacuer le sang, pas pour que celui-ci stagne à l’intérieur.
Sachez que l’endométriose pourrait être due au fait que les tampons bloquent la sortie du sang : le flux menstruel refluerait alors dans les trompes de Fallope.

Privilégier donc le plus possible les serviettes. Les « plus naturelles » étant l'idéal, 100% coton, si possible bio.
Pour la petite info, il existe des serviettes en tissu lavable, la meilleure des solutions...

Sachez qu’avec les cup, le risque de syndrome de choc toxique existe de la même façon que les tampons étant donné que, là encore, le sang va stagner à l’intérieur du vagin.

Si vous souhaitez tout de même porter des tampons :
Ne les porter surtout pas la nuit! Il y a trop d’heures qui vont s’écouler avant son retrait.
Privilégier les tampons les moins absorbants! Plus il est absorbant plus le risque de SCT est grand!
Changer le tampon le plus fréquemment possible.

Témoignages

Le documentaire a donné la parole à des femmes victimes d’un choc toxique.

⁃ le témoignage de Margaux, qui a « frôlé la mort ». Il y a trois ans, l’infirmière de 23 ans a été victime d’un syndrome du choc toxique (SCT).
Justine a souffert des mêmes symptômes. Psychanalyste de 26 ans, elle a raconté à la réalisatrice Audrey Gloaguen vivre « dans l’angoisse d’une récidive ». Perte de cheveux, problèmes cardiaques... La jeune femme garde de graves séquelles de son infection.
⁃ Aux Etats-Unis, Lauren Wasser, une mannequin de 24 ans, a porté plainte contre une marque de tampons, elle a dû être amputée d’une jambe après avoir fait un choc toxique.

⁃ Pour la petite histoire, en 1980 déjà, le tampon Rely avait provoqué outre-Atlantique 600 cas de syndrome en 1 an!! Dont une centaine de décès! Procter & Gamble avait dû retirer du marché américain son produit ultra-absorbant, après un procès. Les fabricants sont, depuis, obligés d’indiquer le risque sur les emballages vendus aux Etats-Unis, mais ce n’est toujours pas le cas en Europe.

Sachez enfin que l’augmentation des cas de syndrome de choc toxique devient de plus en plus importante et inquiétante. Plusieurs hypothèses pour l’expliquer : la nature des composants, l’utilisation accrue de tampons ou une évolution de la flore vaginale due peut-être à l’alimentation...


Sabrina, Docteur en Pharmacie et Naturopathe, spécialisée en soin dermo-cosmetiques naturels. Votre santé et votre peau est précieuse et unique. Sabrina réfléchie pour vous sur des formules merveilleusement efficaces, en accord avec la nature, la santé et le bien-être. Son soin pour le visage, adapté à tous les types de peau, est 100% naturel et 100% Vegan. Sa formule a été validée par le centre d’expertise réglementaire et toxicologique. Elle est composée de 5 ingrédients 100% actifs et 0% d’additif.


Laissez un commentaire

Veuillez noter que les commentaires doivent être approuvés avant d'être affichés

×